Le temps passe, lentement, inexorablement ! Et je m'aperçois que la douleur est toujours la, aussi forte et présente ! Comment est-ce que j'arrive à vivre ? Je ne sais pas, je me surprends de cette force ! Dans toute situation, je suis confrontée à mon manque d'enfant, une fête où tout le monde parle de leurs enfants, les parents, les mamies, papys et pas nous ! Nous, les seuls sans enfants, ceux qui doivent faire semblant de s'intéresser aux enfants des autres alors que je voudrais leur crier ma souffrance, ma peine, mais aussi ma rage !
Voilà, je pensais que cette peine et cette colère s'atténueraient, mais il n'en est rien !
Je vis pour souffrir, je souffre et cela me ronge de l'intérieur !
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